De la vie à la mort

Déjà, je ne pense pas que mourir soit une rupture totale avec le vivant, mais simplement un changement de champ magnétique/énergétique.

Je ne pense pas que la mort soit un endroit tout sombre, froid et tout noir ou rien n'existerai.

Mais plutôt une continuité des choses.

Je pense pas qu'il faille séparer la vie de la mort.

Comme dit dans mon article cible "le deuil et son importance", la vie et la mort sont liés dans une danse mal comprise.

Ne pas comprendre la mort, c'est ne pas comprendre la vie.

Une danse plus importante que l'on imagine.

Ne trouvez-vous pas bizarre ces interprétations faciles, radicales et si peu éclairés que l'on nous "enseigne" indirectement.

La peur de mourir, éviter de penser à la mort, la craindre, la fuir à tout pris, ou même les  conceptions religieuses, si tu fais ce que l'on te dis tu iras au paradis, sinon c'est l'enfer...

Avoir peur de la mort c'est avoir peur de la vie.

Deux faces d'une même pièce, regarder l'une n'efface pas l'autre.

Pourtant la nature nous l'enseigne chaque jour, la mort est partout, tout le temps mais cela nous dérange, nous fait sentir mal, on ne le regarde pas et je ne parle pas ici de perdre un être cher, car les séparations sont difficiles a vivrent bien sûr.

Mais de la mort quotidienne, des animaux dans la nature, pas celles crées par les êtres humains dommageables et dérangeantes bien sûr.

Mais la mort "naturelle" où les corps d'insectes, d'oiseaux, mammifères. gisent un peu partout en putréfactions.

Heureusement d'ailleurs qu'il y a putréfaction sinon on aurait des soucis, mais l'humain lui aime créer des choses  non-putréfiables, ou difficilement putréfiable.

Cette réalité que nous fuyons.

La médecine chinoise sait depuis longtemps que nous sommes fait a 99,99% d'énergie et 0,01% de matière, même un prix Nobel, Ernest Rutherford, l'a découvert et expliqué. (texte copié en dessous de celui ci).

Alors pourquoi tant de silence et si peu de questions sur la mort?

Et surtout tant d'acceptation des récits implicites, "officiels", religieux?

Et si être la mort était un endroit plus vivant que notre vie?

Est ce si difficile à croire?

Sommes nous tous vraiment vivants ici?

Certains ne vous semblent ils pas déjà morts même si ils marchent devant vous et parlent.

Comme si leur âme s'était éteinte malgré leur présence ici. Mort en dedans.

Pas difficile à comprendre vu nos vies, leurs organisations et nos façons de penser.

Il se joue quelque chose de plus important a mon avis dans la façon dont on nous enseigne la mort.

Mieux la comprendre avec son lien à la vie est un enjeu primordial, je pense, pour nous, mais aussi pour ce monde qui ne manipulerai pas les récits, ni ne jouerai pas autant sur la peur de la mort si cela était anodin.

Quand on a peur on ne réfléchit plus, voir on prend ce qui nous est proposé sans question.

Quand on a peur de mourir on court se faire la piquouse.

On a le droit de ne pas croire en la vie après la mort, mais je trouve cela peu éclairé.

Mais on aime bien aller voir un médium des morts pour se faire du bien, un instant avant de retourner à nos peurs ou regarder les émissions sur les fantômes pour se faire peur.

On a le droit de ne pas croire en dieu mais alors pourquoi le prier quand cela ne va pas ou le tenir responsable de nos malheurs si l'on pense qu'il/elle n'existe pas.

Toute une génération d'occidentaux voir plusieurs ne croient ni en dieu, ni à la vie après la mort mais sont tous à l'église pour un enterrement.

Haa l'humain! Ses complications, ses bêtises mais aussi sont grand pouvoir.

Il me semble que la façon d'être vivant ici est tres importante pour notre mort.

Que tout ce qui n'est pas accomplit ici ,continue là bas, et ce n'est pas forcément plus facile a accomplir et vous oblige à revenir.

Ce qui se fait dans la matière est peut être plus facile à défaire dans la matière.

 

 

Christophe

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La suite est un texte copié d'un ancien abonnement à une newsletter sur la médecine chinoise auquel j'ai pensé pendant l'écriture de mon article.

 

C’est sûrement un des Prix Nobel les plus importants du XXème siècle.

En 1906, à l’université de McGill (Montréal), Ernest Rutherford fait une découverte renversante :

L’être humain serait fait à 99,99% d’énergie électromagnétique

Et seulement 0,01% de matière !!

C’est absolument renversant.

En fait, Ernest Rutherford sait que nous sommes composés d’atomes : et ces atomes ne comprennent qu’un tout petit noyau, quelques électrons (= 0,01% de matière) et 99,99% de « vide » (selon les physiciens de l’époque).

Sauf qu’il comprend que ce n’est absolument pas vide : c’est en fait de l’énergie qui gravite autour[1].

Imperceptible à l’œil nu, cette énergie serait ce qui permet à nos tissus de s’assembler, à nos organes de fonctionner et aux réactions chimiques d’opérer (par exemple quand vous digérez ou quand vous respirez).

Cela peut paraître anodin mais c’est une découverte essentielle pour votre santé !

En fait cela pourrait remettre en question la manière dont on appréhende les maladies et la façon dont on nous soigne.

C’est peut-être pour cela qu’elle reste inconsidérée par les systèmes de santé Français.

Lorsque vous êtes malade, votre médecin vous prescrit certainement des médicaments (qui agissent sur la matière).

Mais vous a-t-il déjà prescrit des exercices pour agir sur cette énergie ?

Certainement pas.

Et c’est tout le problème !

Notre médecine occidentale voit uniquement la guérison via le prisme de la matière.

Elle ignore totalement ce qui compose 99,99% de votre corps : l’énergie.

Mais c’est loin d’être le cas de nombreuses médecines ancestrales.

La Médecine chinoise, elle, en a fait son pilier fondateur.

Depuis des millénaires, elle a amélioré ses remèdes et techniques pour maîtriser cette énergie vitale.